Eau pompée par les usines de production d'eau potable avant le traitement de potabilisation, ou eaux usées collectées et acheminées vers les stations d'épuration
Voir Eau pluviale.
Eau sans sel provenant des pluies et des infiltrations et des nappes phréatiques. Les rivières, les lacs et les fleuves contiennent de l'eau douce.
Partie de l'eau qui ruisselle à la surface du sol, vers un cours d'eau ou un réseau d'assainissement à la suite d'une pluie. L'usage du mot ruissellement est préférable pour éviter toute ambiguïté avec l'eau de pluie, dont une partie s'infiltre ou s'évapore.
Eau provenant des rejets d'une collectivité et, éventuellement, d'industries, qui rejettent au réseau des eaux brutes ou pré traitées.
Eaux usées issues de l'industrie.
Eaux provenant des nappes phréatiques et s'infiltrant dans un réseau d'assainissement non étanche.
Eaux usées provenant des cuisines, de buanderies, lavabos, salle de bain, toilettes et installations similaires. Les eaux pluviales et les eaux de piscines sont exclues.
Le terme d'eaux usées domestiques englobe les eaux ménagères (cuisine, salle de bain hors WC) et les eaux vannes (WC).
Équipe départementale d'assistance technique à l'entretien des rivières
On parle d'effacement lorsqu'un ouvrage ( barrage, seuil par exemple) placé en travers d'un cours d'eau est détruit dans sa globalité.
Décalage de fréquence d'une onde acoustique ou électromagnétique entre la mesure à l'émission et la mesure à la réception lorsque la distance entre l'émetteur et le récepteur varie au cours du temps.
Eau collectée par un système d'assainissement, ou sortant de ce système soit après traitement dans une station d'épuration, soit sans traitement, par un déversoir d'orage ou un exutoire quelconque.
Équivalent habitant
Obstruction d’un cours d’eau par des branches, des troncs et des détritus divers.
Espace naturel sensible
Eaux pluviales
Apport sur un terrain, selon une répartition régulière et une dose prédéfinie, de boues issues de l'épuration des eaux usées en vue d'une dégradation par les micro-organismes du sol et d'une valorisation des éléments fertilisants (épandage sur terres de culture).
Procédé d'épuration utilisant le sol comme système épurateur et comme moyen d'évacuation des effluents.
Établissement public de coopération intercommunale
Évaluation préliminaire du risque d'inondation
Notion utilisée notamment pour définir la capacité des stations d'épuration, en fonction de la quantité de pollution qu'elles reçoivent par jour. La directive européenne du 21 mai 1991 relative au traitement des eaux urbaines a défini l'EH comme « la charge organique biodégradable ayant une demande biochimique en oxygène en cinq jours (DBO 5) de 60 grammes d'oxygène par jour ».
Phénomène résultant de l'action mécanique de l'eau qui arrache des particules de terre constitutives de la berge, entraînant sa dégradation et son recul.
Le plus faible débit d'un cours d'eau durant l'année.
Eaux usées
Présence en excès d'éléments nutritifs (nitrates, phosphates) dans un milieu aquatique entraînant des déséquilibres sur le milieu et les espèces (prolifération de plantes aquatiques, appauvrissement en oxygène et de la biodiversité).
Sous l'effet de la chaleur (le soleil), l'eau se transforme en vapeur d'eau (état gazeux). Cette transformation est une évaporation.
Rejet d'eau par les plantes dans l'atmosphère sous forme de vapeur d'eau.
Point de déversement des eaux acheminées par une canalisation, un fossé, un cours d'eau.