Aire d’alimentation de captage
Dispositif réduisant la dureté de l'eau, en supprimant le calcium et le magnésium de l'eau par une percolation à travers une résine chargée de sodium.
Alimentation en eau potable
Agence de l’eau Seine Normandie
Agence des espaces verts |
Cours d'eau se jetant dans un autre. La rivière est un affluent du fleuve
Association francilienne des industries pour l'étude et la gestion de l'environnement
Système de production agricole dont l'objectif est de réduire l'utilisation de produits chimiques en se basant sur des processus naturels de régulation.
Du côté de la montagne. Quand on parle d'un cours d'eau, l'amont est le côté d'où vient l'eau.
Poisson vivant alternativement dans les eaux douces et dans les eaux salées comme par exemple le saumon
Assainissement non collectif
Ensemble de zones humides connectées de manière temporaire ou permanente à un cours d'eau.
Formation géologique constituée de roches perméables (formations poreuses et/ou fissurées) contenant de façon temporaire ou permanente de l'eau mobilisable, et capable de la restituer naturellement et/ou par exploitation (drainage, pompage...).
L'arasement consiste à supprimer totalement ou partiellement les obstacles en les démolissant jusqu'au niveau du lit ou en créant une brèche
Agence régionale de santé
Ensemble des moyens et techniques de collecte, de transport, de traitement des eaux usées et pluviales avant leur rejet dans le milieu naturel.
Assistance technique départementale
Dispositif d'exploitation d'un système d'assainissement consistant pour l'exploitant à enregistrer lui-même les paramètres nécessaires au suivi et au contrôle de la station, à les transmettre aux autorités compétentes et à tenir à disposition un manuel d'organisation interne.
Du côté de la vallée. L'aval est le côté où coule l'eau.
Bassin d’alimentation de captage
Correspond à un volume d'eau stocké dans un réservoir en vue d'alimenter avec un volume donné un ouvrage d'épuration.
Micro-organismes constitués d'une seule cellule sans noyau individualisé (procaryotes), considérés comme appartenant à un règne autonome, ni animal, ni végétal. Elles constituent la forme la plus ancienne de cellule vivante.
Bande de terrain bordant la rive d'un cours d'eau.
Dispositifs agro-paysagers, de 5 mètres minimum, longeant les cours d'eau pour limiter les apports de pesticides et d'engrais dans le cours d'eau et dans le plafond de la nappe phréatique
Territoire dans lequel les eaux d'infiltration alimentant la nappe phréatique sont susceptibles d'être prélevées par le captage. Les restrictions préconisées dans ce territoire (aussi appelé Aire d'Alimentation de Captage) ont pour but de lutter contre les pollutions diffuses.
Bassin de retenue installé sur un réseau unitaire, souvent immédiatement à l'amont de la station d'épuration, et destiné à stocker provisoirement tout ou partie des effluents unitaires collectés pendant une pluie pour les restituer ensuite, à débit contrôlé, à la station d'épuration.
Bassin de stockage temporaire des flux d'eau destiné à atténuer l'ampleur des crues et leurs dommages.
Zone drainée par un cours d'eau et ses affluents délimitée par une ligne de partage des eaux. Pour cette zone, l'ensemble des eaux de ruissellement s'écoule en convergeant vers le même point (exutoire).
Battement de l'eau sur les berges dû au déplacement des bateaux.
Portion de canal ou de rivière située entre deux ouvrages (barrages et écluses).
Les biodisques sont constitués de séries de disques circulaires, striés sur un axe, partiellement submergés et tournant lentement dans l'eau résiduaire. Les micro-organismes qu'ils fixent permettent d'épurer l'eau.
Terminologie employée par la Directive cadre sur l'Eau pour caractériser la qualité d'une rivière (bon état écologique et chimique) ou une nappe souterraine (bon état chimique et quantitatif)
Boues traitées ou non, provenant de stations d'épuration des eaux résiduaires urbaines.
Tuyau permettant d'alimenter en eau un bâtiment à partir de la canalisation publique parallèle à la rue.
Ancien bras d'un cours d'eau, devenu une zone humide.
Communauté d'agglomération |
Charges polluantes et débits maximaux de l'effluent qui peuvent être traités par une installation existante de façon à obtenir un effluent traité conforme au niveau de rejet requis.
Ouvrage destiné à prélever et exploiter des ressources en eau souterraine (forage) ou de surface.
Classement réglementaire d’un cours d’eau en fonction des populations de poisson dominantes. Il existe deux catégories : les cours d’eau de 1ère catégorie qui sont occupés par des espèces du type salmonidés ; et les cours de 2ème catégorie qui abritent majoritairement des populations de poissons de type cyprinidés.
Communauté de communes |
Conseil environnemental 77
Appareil, utilisé pour l'assainissement, permettant de séparer les boues des eaux usées au moyen de la force centrifuge.
Centre d’Étude et de Recherche de l’Industrie et du Bêton
Périmètre englobant un ensemble d'ouvrages de captages prélevant l'eau souterraine d'une même nappe.
Réservoir d'eau surélevé.
Oxyde de calcium résultant de la calcination de calcaires. Elle est utilisée pour améliorer la qualité de l'eau potable et traiter les boues issues de l'assainissement.
Traitement par le chlore (chlore gazeux, eau de Javel ou hypochlorite de sodium), pour assurer la désinfection de l'eau et prévenir les risques de contamination tout au long du réseau de distribution d'eau, de la sortie des usines de production jusqu'au robinet du consommateur.
Procédé physique d'élimination des matières en suspension présentes dans l'eau
Chaque cours d'eau est classé par arrêté préfectoral en fonction de ses caractéristiques. Les cours d'eau de première catégorie (dite « salmonicole) correspondent aux rivières de tête de bassin : leur pente est forte, leur minéralisation et leur teneur en nutriments sont faibles. Les cours d'eau de seconde catégorie (dite « cyprinicole ») sont assimilés aux cours d'eau de plaine : ils correspondent à des milieux de forte productivité aux habitats nombreux et à l'importante variété d'espèces associées.
Commission locale sur l’eau
Réseau de contrôle opérationnel pour les nappes souterraines
Produit minéral ou organisme destiné à favoriser la coagulation des matières colloïdales présentes dans une eau. Les plus courants sont le sulfate d'alumine et le chlorure ferrique.
Bactéries indicatrices de contamination fécale.
Assemblée regroupant différents acteurs et usagers de l'eau pour chacun des six grands bassins hydrographiques (constituant les territoires des Agences de l'Eau). Les comités de bassin contribuent, à travers la concertation, à la définition et l'orientation de la politique des Agences de l'eau.
Procédé particulier de stabilisation biologique aérobie d'un produit organique fermentescible. Les produits ont un aspect de « terreau » et présentent une structure solide.
Délégation de gestion du service portant à la fois sur la réalisation d'investissements et sur leur exploitation.
Transformation de la vapeur d'eau des nuages qui se refroidit dans les couches supérieures de l'atmosphère.
Endroit où deux cours d'eau se rejoignent.
Libre circulation, longitudinale et latérale, des organismes vivants et des sédiments dans les milieux aquatiques. Cette notion a été introduite dans l’annexe V de la Directive Cadre sur l’Eau comme un élément de la qualité des milieux.
Cours d'eau dont le lit et les berges sont propriété de l'Etat.
Augmentation plus ou moins brutale du débit et de la hauteur d'un cours d'eau. Ce phénomène peut se traduire par un débordement du lit mineur.
Crue ayant 1 chance sur 100 de se produire en moyenne chaque année.
Réseau de contrôle de surveillance pour les nappes souterraines
Centre de stockage des déchets ultimes
Centre Scientifique et Technique du Bâtiment.
Un système de culture visant un fort rendement par unité de surface est qualifié d'intensif; à l'inverse, un système à faible rendement réparti, le plus souvent, sur de grandes surfaces est qualifié d'extensif.
Diagnostic agro-environnemental géographique
Directive cadre sur l’eau
Direction départementale des services vétérinaires
Direction départementale des territoires
Quantité d'eau écoulée par unité de temps. Il s'exprime le plus souvent en litre/seconde ou en m³/seconde.
Débit au-delà duquel les objectifs de traitement minimum ne peuvent être garantis et qui conduit à des rejets dans le milieu récepteur au niveau des déversoirs d'orage ou by-pass.
Valeur de débit à maintenir à l'aval d'un ouvrage localisé de prise d'eau (rivière court-circuitée,...) en application de l'article L-232-5 du code rural (loi « pêche ») afin de garantir la vie des populations piscicoles.
Séparation des matières solides (plus lourdes que l'eau) qui se déposent au fond, par effet de gravité.
Déchet n'étant plus valorisable ni recyclable et dont le caractère polluant ou dangereux ne peut plus être réduit. Selon la loi, seuls les déchets ultimes peuvent encore être mis en décharge désormais appelée Centre de Stockage des Déchets Ultimes (CSDU).
Action menée sur une rivière pour permettre qu'elle retrouve une continuité écologique et sédimentaire et ainsi assurer la libre circulation piscicole. Ceci se traduit par l'arasement ou l'effacement des barrages ou en dernier recours par la mise en place de passes à poissons.
Procédé d'élimination du fer présent naturellement dans l'eau, par effet d'oxygénation de l'eau à l'air et filtration.
Particules grossières et déchets récupérés par les dégrilleurs situés en entrée d'une station d'épuration des eaux usées.
Appareil pour retenir les particules grossières en entrée d'une usine de traitement d'eau potable ou de station d'épuration des eaux usées. L'appareil est constitué de grilles, bandes mobiles, disques ou tambours rotatifs.
Quantité d'oxygène à fournir pour dégrader par voies aérobies les matières organiques biodégradables contenues dans un échantillon d'eau à 20°C. On utilise généralement la DBO5 (à 5 jours) comme indicateur de la quantité de pollution biodégradable contenue dans un effluent.
Quantité d'oxygène à fournir pour oxyder par voie chimique les matières contenues dans un échantillon d'eau. La DCO exprime la quantité de pollution dégradable chimiquement dans un effluent.
Suppression d'un ouvrage par son enlèvement ou sa démolition totale ou partielle.
Abaissement des teneurs en nitrates et des nitrites par réduction de l'azote sous forme gazeuse, généralement sous l'action des bactéries.
Le dérasement ou effacement consiste à supprimer dans sa globalité un ouvrage ( barrage) ou un seuil placé en travers d'un cours d'eau.
Directive eaux résiduaires urbaines |
Ce procédé utilise une forte température de l’eau à faible pression. L’eau chaude est pulvérisée sous forme liquide sur la plante à détruire. Le stade idéal d’application est de 3 à 4 feuilles pour l’ensemble de ces techniques.
Ce procédé utilise de l’eau et un additif biodégradable à base d’amidon de maïs et de noix de coco. L’ensemble est chauffé afin d’appliquer une mousse chaude (96°C) sur la végétation à détruire. Cette mousse provoque un choc thermique sur la plante et disparaît au bout de 15 minutes. Le stade idéal d’application est de 4 à 5 feuilles.
Le désherbage thermique utilise la chaleur pour détruire la flore spontanée. Cela consiste à provoquer un choc thermique de manière à faire éclater les cellules végétales des plantes sans pour autant les brûler : les protéines des cellules végétales se coagulent, ce qui stoppe la photosynthèse. L’objectif n’est plus d’éradiquer mais bien de contrôler la végétation spontanée.
Ce procédé fonctionne au gaz propane en phase vapeur. Le brûleur produit une flamme dont la température atteint environ 1400°C. Le stade idéal d’application est de 2 à 3 feuilles : plus la plante est développée, plus il faut augmenter le temps d’application.
Cette technique fonctionne au gaz propane en phase liquide. La réflexion des rayons infrarouges, produits par les brûleurs, se fait grâce à un carter alvéolé. Les rayons infrarouges vont provoquer la destruction de la plante par choc thermique (température d’environ 1000°C). Le stade idéal d’application est de 2 à 3 feuilles.
Etape du traitement de l'eau visant à éliminer les mico-organismes pathogènes (virus, bactérie) par ajout de chlore, d'ozone ou par lampes ultra-violet afin d'écarter les risques d'infection et de contamination.
Descente des poissons migrateurs vers l'aval d'un cours d'eau pour rejoindre le milieu marin
D'après l'arrêté du 21 juillet 2015, "Tout ouvrage équipant un système de collecte en tout ou partie unitaire et permettant, en cas de fortes pluies, le rejet direct vers le milieu récepteur d’une partie des eaux usées circulant dans le système de collecte. [Règlementairement,] un trop-plein de poste de pompage situé à l’aval d’un secteur desservi en tout ou partie par un réseau de collecte unitaire est considéré comme un déversoir d’orage [...]."
Diagnostic concernant les agglomérations d’assainissement générant une charge brute de pollution organique supérieure ou égale à 600 kg/j de DBO5 et destiné à : connaître, en continu, le fonctionnement et l’état structurel du système d’assainissement ; prévenir ou identifier dans les meilleurs délais les dysfonctionnements de ce système ; suivre et évaluer l’efficacité des actions préventives ou correctrices engagées ; exploiter le système d’assainissement dans une logique d’amélioration continue.
Document d'Information communal sur les risques majeurs
Direction régionale des entreprises, de la concurrence de la consommation, du travail et de l’emploi |
Document d'objectifs (document de diagnostic et d'orientation pour la gestion des sites Natura 2000) |
Conduit souterrain captant et évacuant l'eau excédentaire du sol/Technique d'évacuation des eaux en excédent dans le sol.
Direction régionale et interdépartementale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt
Direction régionale et interdépartementale de l'environnement et de l'énergie |
Caractéristique de l'eau liée à la teneur en calcium ou en magnésium d'une eau. Une eau dure contient beaucoup de calcium ou de magnésium ; elle ne mousse pas avec du savon, elle a tendance à former des dépôts de tartre (carbonate de calcium) dans les conduites ...
Eau pompée par les usines de production d'eau potable avant le traitement de potabilisation, ou eaux usées collectées et acheminées vers les stations d'épuration
Voir Eau pluviale.
Eau sans sel provenant des pluies et des infiltrations et des nappes phréatiques. Les rivières, les lacs et les fleuves contiennent de l'eau douce.
Partie de l'eau qui ruisselle à la surface du sol, vers un cours d'eau ou un réseau d'assainissement à la suite d'une pluie. L'usage du mot ruissellement est préférable pour éviter toute ambiguïté avec l'eau de pluie, dont une partie s'infiltre ou s'évapore.
Eau provenant des rejets d'une collectivité et, éventuellement, d'industries, qui rejettent au réseau des eaux brutes ou pré traitées.
Eaux usées issues de l'industrie.
Eaux provenant des nappes phréatiques et s'infiltrant dans un réseau d'assainissement non étanche.
Eaux usées provenant des cuisines, de buanderies, lavabos, salle de bain, toilettes et installations similaires. Les eaux pluviales et les eaux de piscines sont exclues.
Le terme d'eaux usées domestiques englobe les eaux ménagères (cuisine, salle de bain hors WC) et les eaux vannes (WC).
Équipe départementale d'assistance technique à l'entretien des rivières
On parle d'effacement lorsqu'un ouvrage ( barrage, seuil par exemple) placé en travers d'un cours d'eau est détruit dans sa globalité.
Décalage de fréquence d'une onde acoustique ou électromagnétique entre la mesure à l'émission et la mesure à la réception lorsque la distance entre l'émetteur et le récepteur varie au cours du temps.
Eau collectée par un système d'assainissement, ou sortant de ce système soit après traitement dans une station d'épuration, soit sans traitement, par un déversoir d'orage ou un exutoire quelconque.
Équivalent habitant
Obstruction d’un cours d’eau par des branches, des troncs et des détritus divers.
Espace naturel sensible
Eaux pluviales
Apport sur un terrain, selon une répartition régulière et une dose prédéfinie, de boues issues de l'épuration des eaux usées en vue d'une dégradation par les micro-organismes du sol et d'une valorisation des éléments fertilisants (épandage sur terres de culture).
Procédé d'épuration utilisant le sol comme système épurateur et comme moyen d'évacuation des effluents.
Établissement public de coopération intercommunale
Évaluation préliminaire du risque d'inondation
Notion utilisée notamment pour définir la capacité des stations d'épuration, en fonction de la quantité de pollution qu'elles reçoivent par jour. La directive européenne du 21 mai 1991 relative au traitement des eaux urbaines a défini l'EH comme « la charge organique biodégradable ayant une demande biochimique en oxygène en cinq jours (DBO 5) de 60 grammes d'oxygène par jour ».
Phénomène résultant de l'action mécanique de l'eau qui arrache des particules de terre constitutives de la berge, entraînant sa dégradation et son recul.
Le plus faible débit d'un cours d'eau durant l'année.
Eaux usées
Présence en excès d'éléments nutritifs (nitrates, phosphates) dans un milieu aquatique entraînant des déséquilibres sur le milieu et les espèces (prolifération de plantes aquatiques, appauvrissement en oxygène et de la biodiversité).
Sous l'effet de la chaleur (le soleil), l'eau se transforme en vapeur d'eau (état gazeux). Cette transformation est une évaporation.
Rejet d'eau par les plantes dans l'atmosphère sous forme de vapeur d'eau.
Point de déversement des eaux acheminées par une canalisation, un fossé, un cours d'eau.
Toute portion de cours d'eau, présentant sur une certaine longueur une physionomie homogène de la pente, de la hauteur d'eau, des vitesses du courant et de la granulomètrie du substrat.
Foire aux questions
Technique consistant à travailler le sol comme pour un semis afin de faciliter la germination des graines des mauvaises herbes contenues dans le sol. Une fois celles-ci levées, on les détruit en les enfouissant avant de réaliser le semis.
Fonds européen agricole pour le développement rural
Fonds européen pour le développement régional
Passage de l'eau à travers un matériau (lit de sable par exemple) qui retient les matières en suspension.
Filtre composé d'une membrane poreuse qui sous l'effet de la pression laisse passer l'eau et retient les particules solides. La taille des pores détermine la taille des particules filtrées.
Cours d'eau se jetant dans la mer ou l'océan et recevant des eaux provenant de ses affluents (rivières).
Produit chimique ajouté afin de produire des agrégats (flocs) ou pour accroître la taille ou la cohésion des flocs.
Montée des matières en suspension dans un liquide vers la surface sous l'effet de l'entraînement par un gaz injecté à cet effet.
Ouvrage destiné à capter et exploiter des ressources en eau souterraine. Un forage est dit artésien quand la pression de la nappe phréatique captive fait remonter l'eau à la surface du sol.
Dispositif de pré-traitement destiné à la collecte, à la décantation et à la liquéfaction partielle des matières solides de l'ensemble des eaux usées domestiques, à l'exception des eaux pluviales. Réservoir fermé de décantation dans lequel les boues décantées sont en contact direct avec les eaux usées traversant l'ouvrage. Les matières organiques solides y sont partiellement décomposées par voie bactérienne anaérobie.
Lieu de reproduction des poissons. La femelle y dépose ses œufs et le mâle les féconde.
Tuyau d'évacuation des eaux pluviales dans le caniveau d'une rue.
Technique de protection ou de reconstitution des berges et utilisant les racines des végétaux implantés pour stabiliser les sols.
Manière d'orienter, de guider, de coordonner les activités d'un pays, d'une région, d'un groupe social ou d'une organisation privée ou publique.
Ensemble des constituants inertes dans une rivière ( sables, graviers, cailloux).
1 ha = 10 000 mètres carrés (m2).
Sur un profil de sol, couche généralement parallèle à la surface, présentant des caractéristiques pédologiques (texture, structure, couleur...) homogènes et différentes de celles des couches inférieure et supérieure.
Description des cours d'eau et des étendues d'eau. Désigne aussi l'ensemble des cours d'eau d'une région donnée, organisés en bassin versant.
Etude du cycle de l'eau (formation, distribution, circulation,...) dans le temps et dans l'espace.
Étude de la morphologie et de la dynamique des cours d'eau, notamment l'évolution des profils en long et en travers. L'étude des caractéristiques physiques naturelles des rivières et de leurs annexes hydrauliques (les variations de profondeur, de courant, la structure et le substrat du lit, la structure de la rive, sa pente, la sinuosité du lit, etc.) joue un rôle fondamental dans la recherche de retour au "bon état" car elle détermine les capacités d’accueil des espèces.
Traitement par des procédés physiques ou chimiques, qui réduit à un niveau non détectable la présence de tous les micro-organismes pathogènes dans un milieu (arrêté du 8 janvier 1998 sur l'épandage des boues d'épuration, articles 12 et 16).
Voir pesticides.
Indice biologique diatomique
Indice biologique global normalisé
Indice biologique macrophytique en rivière
Installation classée pour la protection de l’environnement
Indice Linéaire de Perte : cet indice permet d'estimer le volumes d’eau moyen perdu par jour pour 1 km de réseau
Indice linéaire de perte |
Ne pouvant pas être traversé par un liquide.
Ne pouvant pas être traversé par un liquide.
Pénétration des eaux de surface dans les sols et roches perméables (laissant passer l'eau comme le sable ou le calcaire fissuré).
Débordement des eaux sur une zone dû à une augmentation du débit d'un cours d'eau provoquée par des pluies importantes en durée et/ou en intensité.
Installation industrielle (usine, élevage, entrepôt, carrière) pouvant présenter des risques pour l'environnement et soumise à une réglementation spécifique.
Installations, ouvrages, travaux ou activités susceptibles d'impacter le cours d'eau. Ils seront soumis à déclaration ou autorisation en fonction de leur nature et ampleur. La nomenclature les répertoriant apparaît à l'article R.214-1 du Code de l'environnement |
Indice poisson rivière
Apport artificiel d'eau à un terrain cultivé pour compenser une insuffisance de précipitations et favoriser le développement des plantes.
Installation de stockage de déchets dangereux
Installation de stockage de déchets inertes
Installation de stockage de déchets non dangereux
Publiée en 1996 par l'Organisation internationale de normalisation, désignée sous son sigle d'origine ISO (International Organization for Standardization), la norme ISO 14001 est une norme internationale qui concerne le management environnemental. Son concept de base repose sur l'amélioration continue des performances environnementales, même si elle n'établit pas d'exigences en matière de niveau des performances. Cette norme s'applique à tous les types d'organisations (entreprises industrielles, de services, etc.) quelles que soient leurs tailles et leurs activités.
Technique d'épuration consistant à faire séjourner des eaux usées dans des bassins où des micro-organismes et plantes aquatiques filtrent et dégradent la matière organique.
Bassin de stockage habituellement utilisé dans le traitement biologique par lagunage naturel consistant à faire séjourner les eaux usées pendant une période assez longue. En fonction de la profondeur des ouvrages, le traitement de la pollution se fait naturellement par l'effet cumulé du temps et de l'ensoleillement ou est dopé par l'apport d'oxygène par des équipements électromécaniques.
Loi sur l’eau et les milieux aquatiques
Loi portant engagement national pour l'environnement
Entraînement en profondeur, par l'eau, de substances présentes dans les sols. Les nitrates et certaines produits phytosanitaires (ou leurs produits de dégradation) peuvent ainsi atteindre les nappes d'eau et en altérer la qualité, jusqu'à rendre l'eau impropre à la consommation.
Zone de la vallée limitée par les terrasses, correspondant au lit occupé par les crues rares à exceptionnelles (périodes de retour variant de 10 à plus de 100 ans) caractérisées par des hauteurs et vitesses d'eau généralement modérées.
Zone de la vallée empruntée habituellement par le cours d'eau.
Zone de la vallée limitée par des talus, correspond au lit occupé par les crues fréquentes à moyennes (périodes de retour comprises entre 2 et 10 ans) qui peuvent avoir une vitesse et une charge solide importantes.
Plante aquatique de grande taille (par opposition au phytoplancton et aux algues de petite taille).
Mesures agro-environnementales |
Mesures agro-environnementales et climatique
Personne physique ou morale décisionnaire ayant la propriété de l'ouvrage ou la responsabilité du service. Pour l'eau potable ou l'assainissement, le maître d'ouvrage est la collectivité (commune, groupement intercommunal) qui détient la compétence eau potable et/ou assainissement.
Découpage élémentaire des milieux aquatiques destinée à être l'unité d'évaluation de la Directive Cadre sur l'Eau (DCE). Les masses d'eau sont regroupées en types homogènes qui servent de base à la définition de la notion de bon état écologique (ex : masse d'eau « plan d'eau »).
Particules de petite dimension (0,001 à 0,1 µm) en suspension dans un liquide.
Matières issues d'opérations d'entretien (vidange, curage) des dispositifs d'assainissement non-collectifs (A.N.C.) Ces matières sont principalement constituées de flottants, d'eaux usées et de boues à l'exclusion de tous déchets ou produits autres que ceux issus des eaux usées domestiques.
Ministère de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement
Dénomination des travaux publics pour des talus de section trapézoïdale de plusieurs mètres, utilisés le long de la rivière et issu des curages et/ou des recalibrages.
1 m³ = 1 000 litres
Mission Inter-Service de l'Eau et de la Nature. Structure assurant la coordination au niveau du département de l'ensemble des services de l’État chargés de la police de l'eau et de la nature (milieux aquatiques, chasse et faune sauvage).
Mission inter-services de l’eau et de la nature
Moyenne annuelle de débit.
Remontée des poissons migrateurs vers les zones de reproduction situées en amont de l'embouchure des fleuves.
Eau stockée dans les fissures et les interstices des roches du sous sol.
Masse d'eau contenue dans les interstices ou fissures du sous-sol.
Forme oxydée de l'azote issue de la transformation de la matière organique (et de certains engrais azotés). Les nitrates étant naturellement présents dans le sol, les fortes concentrations dans l'eau sont dues aux lessivages des sols de cultures.
Forme oxydée de l'azote relativement toxique précédant la formation des nitrates dans le cycle de l'azote.
Aménagement (seuil, barrage, buse...) ou formation naturelle (chaos rocheux, chute d'eau) qui perturbe la circulation de l'eau et/ou des sédiments et/ou des poissons migrateurs ou d'autres espèces sur un cours d'eau.
La probabilité d'occurrence d'un phénomène est la fréquence d'apparition du phénomène dans une année donnée.
Organisation mondiale pour la santé
Office national de l’eau et des milieux aquatiques |
Ouvrage permettant la gestion de l'écoulement d'un cours d'eau.
Un ouvrage est une construction réalisée par l'homme pour son usage (ponts, barrage, seuils...), l'ouvrage peut être implanté transversalement au cours d'eau ( seuils , barrage), longitudinalement (digues, buses) ou enjamber celui-ci (ponts).
Procédé de désinfection utilisant les propriétés de l'ozone pour neutraliser les bactéries et virus, dans le traitement des eaux de surface.
Plan d'assurance environnement
Action de couvrir le sol de matériaux protecteurs (paille, feuilles mortes, broyats d'écorces,...) pour éviter le développement de plantes indésirables, conserver l'humidité du sol et le préserver du gel.
Eléments de défense de la berge, en bois, en béton armé ou, le plus souvent, en métal. Enfoncées dans le sol, les palplanches forment un ensemble jointif, appelé rideau de palplanches, retenant la terre et assurant la stabilité.
Plan d’actions opérationnel et territorial (DDT)
Programme d’actions et de préventions des inondations
Dispositif permettant aux poissons migrateurs de franchir un obstacle naturel ou artificiel (barrage ou autre) pour accéder aux zones de reproduction ou de développement.
Plan communal de sauvegarde
Plan départemental sur l’eau
Programme de mesures
Plan départemental pour la protection du milieu aquatique et la gestion des ressources piscicoles
Programme de développement rural hexagonal
Zones réglementairement délimitées autour d'un captage d'eau potable sur avis d'un hydrogéologue agréé, où des activités et aménagements sont interdits ou réglementés afin d'éviter les risques de pollution ponctuelle ou accidentelle. On distingue les périmètres immédiats, rapprochés et éloignés, avec des niveaux de contraintes décroissants.
Moyenne de la durée de l'intervalle séparant deux occurrences consécutives d'un évènement considéré. Ex : une période de retour 100 ans correspond à une crue dont la probabilité d'occurrence annuelle est égale à 1/100 ou 0,01 (1 chance sur 100 de se produire au cours d'une année donnée).
Substances chimiques utilisées pour protéger les cultures et détruire les nuisibles : plantes indésirables (herbicides), insectes (insecticides), champignons (fongicides), ...
Plans de gestion des risques d’inondation
Plus hautes eaux connues
Elément nutritif nécessaire à la croissance des organismes. S'il est naturellement présent dans les sols, une forte concentration dans les eaux est majoritairement liée aux rejets d'eaux usées domestiques.
Technique ayant pour objectif de séparer les particules solides, les huiles et graisses des eaux à traiter (filtration, coagulation, décantation, centrifugation,...).
Appareil de mesure de la pression d'un fluide. Un piézomètre désigne, par extension, le forage dans lequel est installé le matériel de mesure de la hauteur d'eau d'une nappe souterraine.
Le plan local d'urbanisme (PLU) est un document d'urbanisme. C'est avec la loi de Solidarité et de renouvellement urbains (SRU) de 2000 que ce document a succédé à l'ancien plan d'occupation des sols (POS). Le PLU définit les grandes orientations d'aménagement du territoire et d'utilisation des sols d'une commune ou d'un groupement de commune, dans un projet global d'urbanisme.
Plan local d’urbanisme
La pluie résulte de l'évaporation de l'eau qui se trouve dans la nature. La vapeur d'eau s'élève et, en se refroidissant, se condense en fines gouttelettes formant des nuages. Sous certaines conditions, ces gouttelettes peuvent grossir, ce qui les fait tomber au sol, c'est la pluie. Des variations de température sur son parcours peuvent aussi occasionner d'autres formes de précipitations (neige, grêle, grésil...).
Plan national santé environnement
Pollution des eaux due non pas à des rejets ponctuels et identifiables, mais à des rejets issus de toute la surface d'un territoire et transmis aux milieux aquatiques et aux eaux souterraines de façon indirecte, par ou à travers le sol.
Plan d’occupation des sols
Dispositif permettant la reprise des eaux à l'aide d'une pompe, d'un point bas vers un point haut.
Plan de prévention du risque d’inondation
Chute d'eau en provenance de l'atmosphère, sous forme de pluie, de neige ou de grêle. Les précipitations proviennent principalement des nuages. Les nuages de pluie se forment généralement le long des surfaces de contact entre les fronts froids et les fronts chauds.
Prévention des risques et protection des prises d'eau de surface de l'agglomération parisienne
Premiers procédés de traitement de l'eau sur une usine pour éliminer les éléments grossiers les plus faciles à retenir.
Plan des surfaces submersibles
Plan territorial d'actions prioritaires de l'Agence de l'eau
Plan végétal environnement
Débit mensuel minimal annuel de récurrence 5 ans (débit généralement retenu pour les dossiers d'autorisation ou de déclaration de rejet).
Rapport annuel du délégataire |
Partie du cours d'eau où l’eau coule rapidement sur une faible profondeur (généralement le radier est constitué de petits cailloux).
Réseau complémentaire de bassin pour les cours d’eau
Réseau de contrôle opérationnel pour les cours d’eau
Réseau de contrôle de surveillance pour les cours d’eau
Redimensionnement de la largeur/de la pente (berges et lit) d'un cours d'eau afin d'augmenter sa capacité hydraulique. Ces modifications entraînent une artificialisation du milieu, une accélération des flux et par conséquent une amplification, en aval, des crues génératrices de dommages.
Somme demandée aux usagers en contrepartie d'un service public ou d'un droit d'usage.
Les Rejets Urbains par Temps de Pluie (RUTP) représentent l’ensemble des rejets qui se produisent aux exutoires pluviaux, aux déversoirs d’orage et à la station d’épuration pendant les périodes pluvieuses. Ces rejets déversent des flux polluants parfois importants dans les milieux aquatiques superficiels.
Travaux réalisés sur les rivières afin de corriger les actions antérieures de l'homme (recalibrage, reprofilage, barrage, etc...) pour qu'elle retrouvent un cours plus naturel. Ces actions permettent de reconquérir la qualité écologique des cours d'eau et favorisent le retour au "bon état".
Redimensionnement de la largeur/de la pente (berges et lit) d'un cours d'eau afin d'augmenter sa capacité hydraulique. Ces modifications entraînent une artificialisation du milieu, une accélération des flux et par conséquent une amplification, en aval, des crues génératrices de dommages.
Travaux réalisés sur les rivières afin de corriger les actions antérieures de l'homme( recalibrage, reprofilage, barrage, etc...) pour qu'elle retrouvent un cours plus naturel. Ces actions permettent de reconquérir la qualité écologique des cours d'eau et favorisent le retour au "bon état".
Réseau d'intérêt départemental
Formations végétales qui croissent le long des cours d'eau.
Cours d'eau se jetant dans un fleuve. L'Yerres (rivière) se jette dans la Seine (fleuve). C'est un affluent d'un fleuve.
Rapport sur les prix et la qualité des services
Recherche et réduction des rejets de substances dangereuses dans l'eau
Petit ruisseau.
Petit cours d'eau affluent d'une rivière.
Ecoulement gravitaire des eaux de pluies à la surface de sols imperméables ou saturés en eau.
Rejets Urbains par Temps de Pluie
Schéma d’aménagement et de gestion des eaux
Syndicat d'agglomération nouvelle
Service d’animation technique pour l’épuration et le suivi des eaux
Surface agricole utile |
Document départemental d'orientation de l'action publique en matière de gestion et de préservation des milieux aquatiques et de la faune piscicole, approuvé par arrêté préfectoral après avis du Conseil général. Il dresse le bilan de l'état des cours d'eau et définit les objectifs et les actions prioritaires.
Schéma de cohérence territorial
Schéma départemental d’alimentation en eau potable
Schéma directeur d’aménagement et de gestion des eaux
Schéma départemental d’assainissement EU ou EP |
Schéma départemental à vocation piscicole
Déficit saisonnier ou chronique des apports d’eau par les précipitations. Elle est établie par rapport à une valeur de référence, une moyenne. La sécheresse peut avoir des effets immédiats sur certains secteurs de l’économie, notamment les activités agricoles. Les services de l’Etat jouent un rôle primordial dans la surveillance des eaux. Ils s’appuient sur un réseau important de stations de surveillance des cours d’eau, des nappes souterraines et des pluies. Ces stations sont réparties sur tout le territoire et réalisent des prévisions. Lorsque les indicateurs d’alerte montrent un risque de pénurie, les autorités publiques (Préfet) peuvent décider, par arrêté, de limiter les usages de l’eau dans certaines zones géographiques.
Particules solides, principalement minérales et issues de l'érosion, transportées et déposées par les cours d'eau, la mer ou encore le vent.
Service de l'eau potable et des actions préventives |
Section artificielle ou naturelle sur un cours d'eau créant une rupture de pente ou de niveau d'eau.
Quantité de solide restant après un chauffage à 110° C pendant 2 heures. Elle s'exprime en %. Elle rend compte, pour les solides et tout particulièrement les boues, de la quantité de matières sèches (ex : 20 % de siccité = 20 % de matières sèches et 80 % d'eau).
Réservoir utilisé pour stocker les boues issues de l'épuration des eaux.
Stratégie locale de gestion des risques d'inondation
Service de navigation de la seine
Point de sortie naturelle ou artificielle par laquelle une eau souterraine se déverse à la surface de la terre.
Service public d’assainissement non collectif
Station d'épuration |
Appareil permettant d'augmenter la pression d'un fluide (air ou eau) dans un conduit ou un système (filtre, réseau d'eau).
Ligne au fond d'une vallée, suivant laquelle se dirigent les eaux.
Filtrage grossier de l'eau de surface, après le dégrillage effectué à travers des tamis destinés à arrêter les plus petits déchets.
Territoires présentant des risques importants d'inondation |
Désigne le trouble d'une eau lié à la présence de très fines particules en suspension.
Dispositif mécanique qui règle l'écoulement des eaux d'un cours d'eau.
Débit minimum de 10 jours consécutifs, de récurrence 5 ans.
Débit minimum moyen de 30 jours consécutifs, de récurrence 5 ans (débit retenu pour les propositions d'objectifs de qualité).
Les ventouses sont placées sur tous les points hauts d'un réseau d'eau potable. Elles permettent d'évacuer l'air emprisonné dans les réseaux (qui pourrait rétrécir le diamètre de passage de l'eau en faisant une bulle) et assurent ainsi la bonne performance de débit des réseaux d'eau potable.
Voies navigables de France
Etablissement public en charge de l'exploitation du domaine public fluvial navigable (canaux, fleuves et rivières aménagées).
Zone d'action prioritaire
Zones humides
Zone d'intérêt communautaire pour les oiseaux
Zone naturel d'intérêt écologique, faunistique et floristique
Zone de protection spéciale |
Zone de répartition des eaux
Zone spéciale de conservation
Zones soumises à contraintes environnementales |